Daher à Montrichard, Thalès à Vendôme, mais aussi une myriade de petites entreprises qui "réduisent la voilure" : les mauvaises nouvelles s'accumulent sur le marché de l'emploi en Loir-et-Cher, en raison du contexte sanitaire. Toutefois, selon Philippe Cordat, les grands groupes, dont la santé financière n'est pas réellement menacée, ne jouent pas le jeu. Le secrétaire régional du syndicat CGT en Centre-Val-de-Loire répond aux questions de Nicolas Terrien.